La 7ème Lettre

La 7ème lettre, un roman d'une douceur déchirante

Un roman comme un film

Un roman qui se lit comme on regarde un film et emmène le lecteur au coeur des scènes librement inspirées d’une histoire vraie.

Comme un pendule de l’histoire, la narration oscille entre le début des années obscures de la guerre de 14 et notre époque.

SCENE 1 

1994, sept lettre datées de 1914 sont découvertes par Marco. Ces lettres ressurgies du passé, parlent de la sa maison, La Baronnie, un ancien corps de ferme. Elle racontent des vies d’un autre temps et d’un amour éphémère et fulgurant entre Catherine et Valentin.

L’existence de Marco est menacée.  Eva arrive par le prochain train, va-t-il le lui dire ? Et quelle relation y a-t-il entre ces lettres et sa propre histoire.

Valentin, a fait, lui, un choix funeste. Catherine va peut-être devoir continuer sans lui.

Que va-t-on découvrir de ces vies oubliées qui ne sont plus que des ombres qui glissent le long des murs et des chemins de la Baronnie ? Elles ressemblent aux nôtres et accompagnent Marco et Eva.

Deux couples, deux époques, deux urgences, deux histoires qui se ressemblent.

Les temps changent, mais

Les temps changent, mais l’être humain conserve les mêmes rages, les mêmes amours, les mêmes frustrations et ressent implacablement les mêmes souffrances.

Temps de guerre ou temps de paix, l’homme continue à douter de ses actes et du sens de son existence.

AU CARNET DEVOYAGE DES LECTEURS

 
« Merci pour la 7ème lettre.
Je viens de le lire en 2 jours, envoûtée par ces personnages authentiques, dans leur amour, dans leur souffrance, et par des scènes d’un romantisme inouï.
Un roman qui sent sent la terre, la fraîcheur des ruisseaux, le chant des oiseaux…..et plus encore.
J’ai adoré !
Je revois plein de scènes, et notamment celle où Catherine va se tremper délicatement les pieds dans le ruisseau […]
Je ne tarderai pas à le relire tellement j’ai aimé. J’en ai encore plein la tête.
MERCI »
Betty Berger
 
« Les histoires d’amour finissent mal en général, disait la chanson…
Pas un mot ici sur l’issue, évidemment.
Que dire de l’amour qui n’ait été écrit, de ses drames, de ses ravissements, de ses doutes et de ses apaisements.
Oui, comment? En faisant le choix improbable et audacieux, de réunir par delà les époques, le cœur d’hommes et de femmes que tout semble séparer.
La 7e Lettre fait souffler un vent, doux, puissant et frais sur le genre, le renouvelant.
Pont symbolique entre des rives que tout oppose et qui sont pourtant celles d’un même fleuve.
La lecture des premières pages d’un roman devrait toujours être un embarquement immédiat… le voyage fût trop court ici et les foulées trop grandes.
Vraies, désarmantes de sincérité, touchantes et fortes, deux histoires d’amour parallèles qui s’éclairent et se nourrissent l’une de l’autre.
Akris m’avait emportée cet été, c’est avec bonheur et familiarité que je retrouve ici, le style et l’écriture limpides de l’auteur.
Une écriture au service de l’histoire et de ses personnages principaux, mais aussi secondaires et de la nature bourbonnaise, magnifiquement évoquée.
Une langue belle de ses images parce qu’elles deviennent les nôtres.
Un roman à mettre entre toutes les mains, en priorité de celles et ceux qui ne croient plus aux histoires d’amour. »
Sylvie Camusat
 
« Je viens de terminer la 7eme lettre.
J’ai beaucoup aimé l’écriture, le style, je me suis laissée emporter dans les amours de ces années de guerres, où tant d’émotions se mêlent…..
Quels sont vos autres romans ? »
Corine Vilaplana
 
Un uppercut en plein cœur !
Deux histoires qui s’enlacent et font naître des émotions d’amour, de peur, de choix, d’angoisse mais aussi des visions, des odeurs, des couleurs, tout au long des paysages…
Un suspens prenant qui m’a suspendue hors du temps
L’envie d’être avec eux de les connaître
Un pur moment de bonheur arrêté, de douceur, d’amour, même si la tristesse m’a fait laisser échapper des larmes. J’ai été tout simplement envoûtée….
Au fil de ma lecture, ma réalité est passée en second plan. L’excitation, l’euphorie et la joie ont rempli mes journées de lecture.
Solen Gallou
 

« J’ai beaucoup aimé ces deux histoires tragiques et remplies d’amour , j’aurais été déçue si Marco n’avait pas cherché à retrouver Catherine. Une très belle fin remplie d’espoir .Merci à l’auteur pour ce roman »
SR

« Je rentre tout juste d’un voyage… je reviens de la Baronnie. J’y suis allée sans réfléchir, curieuse de la découvrir. Et… savez-vous ? Je l’ai découvert cet endroit merveilleux et je l’ai aimé si fort si intensément.
Je descends du train à l’instant et je me suis assise un instant pour me remettre de mes émotions.
Ces amours ! […]
[…] encore perturbée par l’arrêt de mon train, par la fin de mon voyage si envoûtant, j’ai eu envie de vous l’écrire, […] vous dire combien mon coeur est rempli de bonheur, d’amour, de passion, combien je me sens Catherine, combien je me sens Eva… […]
(Votre livre, NDLA) Je l’aime si fort si passionnément, insolemment, oui oui oui!! »
EZ
 

Je n’ai pas terminé la 7ème lettre (que j’adore), mais on retrouve cette écriture visuelle des objets. Les raccords sont parfaits entre les histoires et entre les époques grâce aux objets, aux sensations liées à la nature. Oui, une écriture très visuelle. On sent que l’histoire est vue comme un film à la base. C’est super sympa comme procédé car du coup, le film que l’on se fait en lisant est précis tout en laissant ce qu’il faut à l’imaginaire pour rêver. Il me reste une centaine de pages, mais vraiment, j’adore ce livre et cet écrivain, car les deux livres que j’ai lus m’ont beaucoup plus. Une agréable découverte…
A R

Cette écriture nous emporte dès les premières lignes dans un autre temps qui nous est pourtant d’emblée familier… miracle de l’écriture « cinématographique « qui pourtant va plus loin que l’image…. l’acuité… la sensibilité sont sous chaque mot… le lecteur est pris au piège des mots… tout a une signification… une petite voix lui dit … « reste attentif… ce n’est pas du remplissage »…les silences… les pauses… tout compte… Je pourrais remplir des pages qui ne suffiraient pas à dire ce que, pour moi, l’auteur veut faire passer… y compris avec son sens du silence plus éloquent que certains mots…
Que de choses admirables peuvent naître dans la tête… et le Cœur de celui qui nous parle de ses personnages en même temps que du lecteur comblé par ce voyage dans un temps… éternel… et qui nous parle ce faisant de lui-même…

Omniprésent aussi pour moi le sentiment que la Terre qui a vu naître cette belle écriture est pour beaucoup dans le respect des valeurs qui se dégage du récit et que m’inspirent les habitants de ce beau pays du Bourbonnais… respect et générosité…
Merci, Richard Morier….

Laure Vieux

« On voit, cela se sent dans votre roman que vous êtes réalisateur de films. Chaque passage est une scène qu’on vit, qu’on imagine ! Le passage du facteur […] et bien d’autres, sont formidables. Votre roman et un régal. On sent la vie à la campagne, la vie d’autrefois. […] Vous avez le talent, le génie, de retracer la vie du passé. C’est un vrai bonheur que de vous lire ».

DR

« Je lis votre roman qui, je l’avoue me passionne, il nous fait revenir à notre propre vie. Qu’est-ce que j aurais fait si j’avais connu la guerre en 14-18 ou 39-45 ? Comment me serais-je comporté ? Là, on voit un film dans sa tête. Et puis la maladie de Marco, la réalité de la vie où on se plaint de tout et de rien. Ce roman nous fait prendre conscience du bonheur. Votre roman et passionnant, c’est un film à lui tout seul. […] Vous avez énormément de talent Richard. C’est bien écrit, on ne se prend pas la tête ! […] Oui la vie et belle, il faut savourer tous ses instants. Merci de nous faire voyager ».

Daniel Roux

 « C’est le plus beau livre que j’ai eu l’occasion de lire. Je pense même avoir lu d’une traite et à haute voix,  alors que j’étais seul, les 150 pages restantes « 

FM

« …ce texte est absolument bouleversant et si vivant… »
Kamel

« Franchement bravo. Livre lu dans la foulée. Si je devais critiquer en un mot je dirai génial.. Merci »
Myckaël Barbenan

« Dans « La 7ème lettre », Richard Morier a romancé, imaginé une belle histoire en miroir à travers le XXème siècle.
Qu’il soit remercié pour son roman d’une douceur déchirante… »
Emmanuel Dufour

« La 7ème Lettre, un beau récit , dense , ou l’auteur peint avec brio toute la palette de l’âme humaine. Il montre aussi que lorsque nous ne sommes pas en guerre contre nos semblables , nous le sommes bien souvent contre nous-mêmes ; c’est là toute la force de cette histoire »
François d’Aubigny

« Beaucoup de tristesse mais aussi beaucoup d’amour. Merci pour ce très beau roman.

Dominique Buffon

« Je viens de finir de lire ce roman… il est carrément génial, facile a lire, on rentre vite dans l’histoire. J’aime beaucoup la façon dont il est écrit. De plus l’histoire est dans l’Allier, j’ai vraiment adoré ce livre et la fin est originale. Merci à l’auteur ».
Marine Montero

« Quel voyage ! Quel tourbillon ! Dès la première ligne j’ai été emportée dans ces destins et je me suis retrouvée au matin, bouleversée et un peu orpheline ».
Marine Bernie

« Quelques heures de grâce simple et de tourments humains comme je les aime et qui me poursuivent encore le livre refermé »

Romane Manet

« Un roman léger comme une brise d’été qui vous transporte jusqu’à la dernière ligne »
Mari-el Burnol

« J’ai été saisie dès la première scène et emmenée dans les jardins secrets de ces passagers du destin »

Corine Menod

« Ma lecture du moment, authentique, sans artifice. Une histoire inspirée de faits réels, pleine d’émotions. Amours et guerre, début des années obscures 1914 et notre époque, l’écrivain Richard Morier nous plonge dans un roman comme je les aime… Comme il le dit si bien : « 

L’humanité n’est qu’une addition obstinée de destins éphémères ». A lire sans modération. Bravo et merci pour ce magnifique livre ».
Horatio Lila

«  »La 7ème lettre » m’a emportée, telle une houle gigantesque, dès les premières lignes, dans son rythme fluide et soutenu. J’ai aimé voyager avec tous les personnages. J’ai aimé être parmi eux, dans la même pièce ou dans le même lieu. J’ai partagé leurs émotions, leurs combats et leur vie. J’en suis ressortie émue, troublée par tant de véracité au cœur des scènes.
Richard Morier a bel et bien un style littéraire qui lui est propre […] « La 7ème lettre », un style, un auteur…du bonheur » !
Chrystèle Desvernois

A mesure que l’on avance dans le récit de la 7e lettre , on se laisse emporter par l’histoire émouvante , de ce jeune couple, Valentin et Catherine, confrontés aux angoisses , à la tourmente, aux horreurs de la Grande Guerre . Un roman passionnant écrit avec un style, propre à Richard Morier, qui sait si bien associer, comme dans son film « LES MOISSONS D’EN HAUT », deux époques différentes dans une même histoire . Félicitations pour ce bel ouvrage !
Eliane Burnol

Comme je vous l’avais promis lors de notre rencontre, je vous envoie ce mail pour vous dire combien j’ai aimé votre livre que j’ai dévoré en très peu de jours tellement j’avais hâte de savoir le dénouement de ces deux merveilleuses histoires en parallèle. Celle de 1914 ayant une fin tragique mais de l’autre aussi en 1994, pleine d’espoir de vie malgré la maladie de Marco. Encore un grand merci d’avoir passé un très bon moment grâce à ce merveilleux livre dont il est très difficile de se détacher et tellement bien écrit. Félicitations.

Jacques Moncorge

« Une merveille qui devrait être adaptée au cinéma. Une évasion immobile plus que réussie »
Fanny Cano

« J’ai rarement lu un livre en une journée mais il était captivant, émouvant et ces transitions formidables entre les deux histoires sont magnifiques. J’ai adoré. Encore Bravo » !
Céline Bernillon

« J’adore ce passage d une époque à l autre avec ces personnages, très subtil, très belle histoire. »
J’espère que le prochain sera aussi captivant.
Cathy Desmartin

« Canadienne, J’ai reçu La 7ème Lettre il y a quelque temps. Même si je ne suis pas native de la France, avec mon imagination j’ai connecté facilement dans cette belle histoire. J’ai beaucoup aimé . Félicitations pour ce beau récit, Richard Morier »
NM

Ce n’est pas toujours facile de lire, il faut du temps, de la curiosité et quand même un peu de passion. Il y a aussi besoin de calme et de silence pour ne pas se laisser distraire et perdre la ligne au milieu des mots.
C’est aujourd’hui un réel défit. Du bruit partout et tout va très vite, beaucoup trop vite pour laisser un peu de temps à la lecture.
Le rabâchage incessant de la publicité dirige nos choix, tel film et tel livre. On ne prend plus de risque, on ne s’aventure plus si on en a pas entendu parler, on ne tentera pas la différence.
Heureusement, par nature, je suis curieux et passionné. Je consacre donc une bonne partie de mon temps à lire. Cela ne m’empêche pas d’être aussi un passionné de cinéma, de toutes les images télévisées qui passent et qui repassent, se proposent à moi sans cesse plus attrayantes et de meilleure qualité.
Malheureusement, toutes ces images magnifiques restent un univers que l’on a imaginé pour moi. On m’impose, on me suggère, on m’influence. Une image vaut-elle plus que des mots ? On ne lit plus les journaux, la presse écrite mais on est submergé d’images télévisés qui deviennent autant de vérités.
Comment marier l’image et l’écrit, le cinéma et la lecture ? Choix et dilemme à une époque où les images s’imposent partout.
Impossible ? Alors non, « La 7ème lettre » à été enfin écrite et c’est un vrai nouveau style !
C’est le premier roman que j’ai lu comme on regarde un film ! J’ai été directement projeté au coeur de chaque scène en une lecture directe, fluide, simple et rapide. J’ai vécu les émotions de personnages pleins d’humanité, leurs amours et leur chagrins, dans un tourbillon d’images et d’actions tout en rythme et en technicolor littéraire.
Un seul récit mais deux histoires en miroir. Le temps est passé mais elles nous rappellent que celles de nos aïeux n’était pas si différentes des nôtres. C’était finalement il n’y a pas si longtemps, soixante-dix ans ici.
Ce livre, librement inspiré d’une histoire vraie, fait partie de ces récits qu’une fois commencé, on n’abandonne pas pour en remettre la suite au lendemain.
Au fil de la lecture, on découvre le style de l’auteur qui a su marier cinéma et lecture, images et mots, en une littérature cinématographique.
Ce roman est une adaptation du scénario de « La 7ème Lettre », que Richard avait écrit pour le cinéma. Mais finalement le temps passant sans parvenir à rassembler le budget nécessaire au tournage, il aura ainsi pris la meilleure décision possible afin de faire connaitre cette magnifique narration.
La suite ? Je parierais volontiers qu’après sa lecture, la majorité des lecteurs voudront voir « La 7ème lettre » sur le grand écran.

JMP