Mon dernier vrai coup de cœur littéraire, et en même temps une totale découverte de cet auteur.
Ce roman vous fera voyager bien au delà de tout ce que vous pouvez imaginer, dans un style enlevé, simple mais pas simpliste.
Des chapitres courts avec des descriptions des lieux et des personnages de façon quasi cinématographique contribuent au dynamisme de l’histoire. J’ai personnellement souvent eu l’impression d’être au cœur de l’action, témoin privilégié des faits.
Si je rajoute un schéma narratif intelligent, un sujet bien maîtrisé, une pincée de philosophie mâtinée d’une touche de terroir façon René Fallet, vous avez le combo parfait pour passer un agréable moment de lecture..
Faites vous confiance, vous irez au delà de vos rêves les plus fous.
« Le vélo d’Apollinaire est magique, il confère à son lecteur un pouvoir inestimable : la liberté. Une liberté tout aussi difficile à apprivoiser qu’à défendre, encore plus héroïque à conserver, mais si plaisante à partager. Le vélo d’Apollinaire unit les hommes pour le meilleur comme pour le pire dans cette quête de l’autre au-delà des limites imposées par la physique. C’est au cœur de cette transgression que les personnages s’incarnent dans toute leur humanité avec pour bagages leurs questionnements, leurs certitudes, leurs espoirs, leurs peurs et leurs doutes. Aussi, ils se construisent à mesure que l’histoire s’élabore et nous invitent à apprécier leur cheminement qui demande tout à la fois patience et persévérance. Et nous les accompagnons volontiers d’échecs en réussites, non sans trébucher ; après tout, ils ne sont que des humains. Leur temporalité est aussi celle de l’écriture. Et l’acte
d’écrire se fait outil de transgression qui permet à l’énergie de la vie de s’épanouir et de s’offrir au monde. Dès lors, tout devient possible. À travers un récit qui mêle habilement action, légèreté et sensibilité, Richard Morier nous emporte dans un univers romanesque dans lequel il fait bon rester en compagnie de ces personnages que l’on adore, que l’on déteste, qui ne nous laissent pas dans l’indifférence et que l’on n’a surtout pas envie de quitter. Il y a finalement quelque chose d’universel dans cette épopée fantastique qui nous touche au cœur : l’amour. »
« Le Vélo d’Apollinaire » est un récit captivant. J’ai été happée par les histoires croisées des protagonistes. Les caractères des personnages et leurs façons de réagir aux événements en font un roman d’aventure formidable tout autant qu’une réflexion profonde sur notre Histoire, notre manière de vivre et notre avenir. Sans oublier la poésie, en particulier celle du personnage d’Apollinaire, bien sûr ! Un être doux, charmant et ingénieux, du côté de l’invisible et du sensible… sorte de passe-muraille temporel, de voyageur prudent auquel on s’attache au fur et à mesure de la lecture de son carnet. Voici un récit qui pourra servir de scénario de film, à n’en pas douter… Une lecture à ne pas manquer ! J’ai adoré ! Bravo Richard Morier ! »
Isabelle
« Le vélo d’Apollinaire…que d’émotions, une histoire fabuleuse qui va m’accompagner longtemps dans mes rêves. Une chance pour moi de connaître Richard Morier, d’où la sensation de sa présence lors de ma lecture et de l’entendre me chuchoter á l’oreille cette folle aventure. Mille mercis »
Estelle
« Bonjour Richard. Dernièrement vous m’avez gentiment dédicacé le livre Le vélo d’Apollinaire dont je viens de terminer la lecture. Les personnages de ce roman sont très attachants sauf un dont je ne citerai pas le nom laissant la découverte à vos prochains lecteurs. Merci Richard pour ces voyages. Un vrai régal… Continuez à nous surprendre par l’écriture de nouveaux romans. Avec mon bon souvenir. »
Marie-Madeleine
« […] J’ai adoré la sensibilité de Lucile à laquelle vient s’accorder Apollinaire pour écrire une belle histoire romantique dans laquelle ils vont se projeter sans concession. J’ai même versé ma larme quand ils sont allé chercher la grand-mère ! Quant au burlesque des coups de bâton de Radinot, je trouve qu’il accentue plus la tension dramatique que le comique. […] Je trouve le roman très réussi » EC
« Le vélo d’Apollinaire…que d’émotions, une histoire fabuleuse qui va m’accompagner longtemps dans mes rêves. Une chance pour moi de connaître Richard Morier, d’où la sensation de sa présence lors de ma lecture et de l’entendre me chuchoter á l’oreille cette folle aventure. Mille mercis »
Estelle
Je viens de commencer »Le vélo d’Apollinaire » …p 46 incluse….
La vie d’autrefois , le soleil, la bienveillance des êtres… les choses sont à leur place …une tranquillité d’esprit au fil des mots me gagne; je retrouve parfois l’esprit gentiment caustique de certaines comparaisons ( comme ds » le Père Noel a disparu ») : « l’administration allongée » du secrétaire de mairie , le pharmacien dont » la voix griffe comme les ongles sur une ardoise d’école » …
C’est un premier ressenti….Il y en aura d’autres , tjs avec ces mots qui arrivent comme une fleur au détour d’une page…
Suite
« » Le vélo » ….Je suis arrivée p110 …gare d’Austerlitz … Ms j’ai bien du mal à quitter La Berthe qui lave la salade de son potager , ds un torchon j’imagine ( ce que faisait ma mémée à moi , puis ds un panier transparent qd elle s’est « modernisée »…. )….J’aime ces personnages si dissemblables qui se croisent sans se connaître sur un dble manuscrit et fantasment sur le héros : le récit est structuré comme un tryptique de cathédrale et je navigue à vent debout , les voiles me claqent à la figure…. je suis Apollinaire , je ne sais pas oû je vais… ms j’y vais ! Sûr , c’est un coup de la Margoule »
Marie-José Conte
